dans
la programmation
Du rock indé pour les enfants ? C’est le défi que se lance le groupe Mamoot pour faire découvrir leur univers aux plus petits des spectateurs.
« Un concert-spectacle tout beau, tout chaud, tout nouveau.[…] Et si ce Pick’O’Rama reste avant tout un concert, avec son aspect audiovisuel, les quatre musiciens, qui se penchent pour la toute première fois sur la création jeunesse, ont travaillé avec une comédienne et metteur en scène, «pour nous aider dans notre attitude de musicien sur scène, dans le contact et l’échange avec le public», souligne Pierre Marolleau, conscient que le jeune public est un public particulier, à prendre avec des pincettes ». Pablo Chimienti – Le Quotidien, Samedi 1er et Dimanche 2 octobre 2016
« Une création rennaise toute fraîche de l’Armada, qui propose de faire s’agiter dans la fosse les enfants dès 6 ans.[…] L’ensemble s’écoute sans problème, même pour ceux qui ont quitté depuis des décennies les cours de récré.[…] Pour éveiller la curiosité et maintenir l’attention de son public junior, le groupe mise sur des petits films d’animation tout simples projetés en arrière-plan. Les musiciens n’hésitent pas non plus à descendre dans la fosse […]. » Julien Joly – Mensuelle de Rennes, novembre 2016
« Pick’O’Rama réussit doublement son pari : celui de captiver de jeunes enfants qui découvrent pour la plupart leur premier concert rock, mais aussi celui de bluffer leurs parents avec des compositions exigeantes et parfaitement troussées. Sans oublier les pointes d’humour comme sur l’excellent générique de fin, truffé de références télévisuelles et cinématographiques ». Yann – AlterInfo, Dimanche 11 décembre 2016
« Le projet de MAMOOT ? Un live mêlant habillement et sans babiller des créations vidéos et des compositions qui, sans les infantiliser, permette aux plus jeunes de s’approprier en « pour de vrai » les codes étranges des musiques que leurs parents écoutent. En bref un concert rock indé grandeur nature et plus vrai que vrai à l’heure du goûter.[…] Pick’O’Rama de Mamoot, en prenant le contre-pied de ces tendances à l’infantilisation de l’enfant, en amenant des réalisations créatives, émotionnelles, sérieuses sans prises de tête peuvent se féliciter d’initier en toute sincérité les petites têtes blondes, brunes, rousses aux joies électriques et éclectiques des musiques « adultes » de leur temps ». Thierry Jolif – Unidivers, Dimanche 12 février 2017
Credit photo Loïg Nguyen