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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, roman publié en 2001, fait partie, avec notamment Milarepa et Oscar et la Dame rose du cycle de l’invisible écrit par Eric-Emmanuel Schmitt. Dans la version portée à la scène avec la complicité d’Anne Bourgeois, Eric-Emmanuel Schmitt nous touche par sa sincérité. Avant sa venue à Colombes, découvrez ce qu’en dit la presse.
« Monsieur Ibrahim, épicier musulman de la rue Bleue, est un personnage magnifique. Le tout jeune garçon qui est ici le narrateur, Moïse dit Momo, est tout aussi extraordinaire. […] Belle histoire d’amitié, de transmission, beau dialogue entre deux générations et deux religions. Rien de mièvre en tout cela. Il y a là une manière de raconter tout à fait originale. Le récit fait la part belle aux sourires, aux rires. Monsieur Ibrahim et Momo sont des êtres rares et pleins d’esprit. Ils sont drôles. Ils affrontent la gravité des événements, la cruauté du monde avec noblesse. Ils sont dignes, irrésistibles, bouleversants. […] L’imagination d’Anne Bourgeois fait merveille. C’est très drôle et très déchirant. Du grand théâtre. »
Armelle Héliot / Le Figaro, 2012 > lire l’article
« Ce récit initiatique d’Eric-Emmanuel Schmitt, écrit à la manière de La vie devant soi de Gary-Ajar, est un hymne à la vie rempli d’humour et de tendresse. […] De la boîte de conserve au simple conseil, on trouve tout chez monsieur Ibrahim, surtout des tonnes d’affection. »
Marie Cécile Nivière / Pariscope, 2012 > lire l’article
« Une dizaine d’années après la belle interprétation donnée par Bruno Abraham-Kremer du texte d’Eric-Emmanuel Schmitt, on redécouvre l’histoire de Momo, l’enfant juif devenu l’ami de l’épicier arabe de la rue Bleue. Dans le contexte actuel, le message fraternel du texte se révèle encore plus pressant. Il vise juste, avec tendresse et générosité. »
Sylviane Bernard-Gresh / Télérama, 2012 > lire l’article
« Une vision noble et conciliante de l’humanité. Un spectacle à recommander à tous ceux qui croient que l’Islam est une religion hystérique. »
Frédéric Ferney / Le point, 2012
« À l’heure où le monde vibre plus que jamais des fanatismes de tous bords, où la religion prend les armes de la conquête, voici un magnifique spectacle en forme de conte qui réconcilie l’homme avec lui-même. […] Le texte d’Eric-Emmanuel Schmitt est d’une simplicité et d’une humanité bouleversante. […] On rit, on pleure, c’est prodigieux ! »
Hélène Kuttner / Paris Match, 2012
« Eric-Emmanuel Schmitt se fait l’interprète de son propre texte pour porter haut les valeurs humanistes qui sont les siennes. […] Porté avec humilité et jubilation, deux intentions chères à la metteure en scène Anne Bourgeois, le texte philosophique et initiatique donne sa mesure. »
Marie-Emmanuelle Galfré / La terrasse, 26 juin 2016 > lire l’article
Crédit photo : L’ombre d’un instant