dans
la programmation
« Spectacle drôle, poétique et musical, Ce que le djazz fait à ma djambe ! […] a germé dans l’esprit de Jacques Gamblin : rendre hommage à une musique qui envahit spontanément sa jambe, puis tout son corps, d’un swing irrépressible. »
« Le comédien a rédigé des textes truffés d’humour, d’amour, de jeux avec les mots, pour lesquels le pianiste Laurent de Wilde a composé des musiques qu’il interprète au sein d’un sextet fusionnant j azz et électro. »
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« Le comédien Jacques Gamblin scande, slame, rime ses propres textes sur les compositions du pianiste Laurent de Wilde. Le spectacle est une explosion de mots et de notes servie par les deux maestros.[…] Épatant, voire plus. Un magnifique spectacle, tout simplement. »
Télérama > lire l’article
« Le Gamblin Jazze, de Wilde Sextet commence sur les chapeaux de roue sous la forme d’un one-man show jubilatoire. Nous attendons le génial pianiste Laurent De Wilde et c’est le comédien Jacques Gamblin qui nous accueille au piano ! Il enchaîne des anecdotes, les unes plus drôles que les autres, sur des professeurs de musique improbables […] Du point de vue musical, ce spectacle est une merveille, l’alliance d’un mix de DJ avec les instruments classiques du jazz opère de façon étonnante. »
Toute la Culture > lire l’article
« Une heure trente durant, Ce que le djazz fait à ma djambe, créé en 2011 dans le cadre du festival Jazz sous les pommiers, rue ainsi dans les standards, à bout de souffle. Un spectacle entre concert et théâtre, comme on écrirait entre clair et obscur, au cours duquel s’admirent les envolées fusionnelles des musiciens, et d’un Gamblin beau parleur, musicien des phrases, slameur qui déclame, […] vacillant, interrogeant sur l’origine d’une note, ou d’un silence, et tremblant de tout son corps, « djambe » la première. »
La Croix > lire l’article
« Gamblin court d’un bout à l’autre de la scène, se jette au sol dans des belles lumières de boîte de nuit. Pas besoin d’être un «djazzeux» pour monter au ciel: groovy, funky, blues… la musique est bonne – universelle. «All that jazz», all that Jacques… Au final, n’y a plus une «djambe» immobile dans la salle. »
Les Echos > lire l’article
Crédits photos : Giovanni Cittadini Cesi, Christian Ducasse