Thomas VDB s’acclimate
Thomas VDB

De fan de rock à père de famille cultivant ses pommes de terre dans son jardin, soucieux de l’avenir de la planète, il n’y a qu’un pas. Thomas VDB l’a franchi, sans abandonner son look et son humour décalés.

En 2o18, dans Bon chienchien, Thomas VDB se posait des questions existentielles et se confiait sur ses addictions. Depuis, il commente l’actualité dans des chroniques désopilantes sur France Inter. Aujourd’hui, il est de retour sur scène, avec de nouvelles tergiversations, celles d’un néo-rural tout frais, écolo, un peu bobo, souhaitant contribuer même modestement à sauver une Terre à la dérive. On rit avec lui de ses efforts, parfois ridicules, souvent vains, pour faire face au dérèglement climatique. On rit aussi de soi, se reconnaissant facilement dans ses tentatives plus ou moins réussies. VDB traite l’écologie avec humour, sans être moralisateur, il fait de son mieux et nous aussi.

Le mot de Thomas VDB « J’ai grandi dans les années 80, une époque où on pensait encore que le pire était derrière nous. Je regardais Annie Cordy à la télé avec mes parents et je me disais “On est sains et saufs ! Si elle chante Tata Yoyo, y a pas de problème grave ! On risque pas de mourir tout de suite !”. Aujourd’hui, je regarde les infos et… »